Nos remarques personnelles

article rédigé par la classe de 4ème 1 session classe orchestre 2000-2003

 Par le pupitre de flûtes traversières
 (Ludivine, Anne-Laure et Eden)

La flûte traversière semblait au départ identique à la flûte à bec mais en plus grand. Le son est plus beau mais les doigtés sont difficiles. Il faut travailler l'agilité des doigts. Les sons graves sont très difficiles à obtenir, pour cela il faut bien maîtriser la position des lèvres sur l'embouchure.

Par le pupitre des saxophones
(Edna, Stacy, Charlotte, Tiffany et Mohamed)

Le montage du saxophone est facile car le corps de l'instrument est entier. Le poids de l'instrument est lourd au niveau du cou à cause de la cordelière, et la boite est très encombrante quand nous rentrons chez nous. Les doigtés du saxo ressemblent à ceux de la flûte a bec. La façon de souffler est différente car il y a un bec et une anche et les doigts sont plus écartés que sur la flûte a bec. Le passage de la note grave a la note aigue est difficile mais nous aimons tous le son que fait notre instrument.

Par le pupitre des clarinettes
 (Aicha, Maimouna, Epticem, Morganne, Sylvain et Guillaume)

Le montage de la clarinette est délicat car il y a cinq pièces. La façon de souffler dans le bec nous paraissait bizarre au début mais avec une pratique régulière, nous nous y sommes habitués. La tenue est difficile au niveau du pouce droit car la clarinette repose sua ce doigt. La place des doigts est très compliquée car une note grave n'a pas le même doigté à l'aigu. Parfois le son "coince"  quand on pose mal les doigts ou lorsqu'on sert trop le bec et l'anche.
 

Par le pupitre des trompettes
(Aline, Sadio et Ecatl)

Le poids de la trompette est léger. La pose des doigts est facile car il n'y a que trois pistons. Par contre, chaque piston donne plusieurs notes et  c'est très difficile de les reconnaître. Il faut beaucoup plus de souffle que dans la flûte à bec mais nous arrivons tous à bien poser le son.

Par le pupitre des cors
(Nadia et Niamé)

Pour nous, le souffle est très dur à maîtriser (c'est sans doute parce qu'il faut remplir beaucoup de tuyau avant que le son ne sorte du pavillon).Quand nous soufflons, cela ne fait pas toujours le son que nous voulons, et nous avons du mal à distinguer le grave de l'aigu. On peut passer d'une note grave à une note aiguë rien qu'en changeant la pression du souffle et des lèvres.

Par le pupitre des trombones
(Céline, Schanawaz, Carl-henri)

Nous pensions tous que c'était plus difficile de souffler dedans. Le bras se fatigue assez vite car il faut tenir la coulisse, et ce n'est pas simple de la placer au bon endroit afin d'obtenir les notes justes.

Par le pupitre des tubas
(Hatoumassa, Julien et Amila)

Au début, la position des lèvres nous semblait très dure mais maintenant, c'est de plus en plus facile. La qualité d'une note tenue est très difficile à obtenir. C'est un peu comme la trompette, nous jouons avec les pistons et il ne faut pas se tromper de note. Le son grave est plus difficile à jouer que l'aigu.

Par le pupitre de percussion
(Zubeida)

J'apprend à manier les baguettes et je travaille mes poignets. C'est très difficile d'avoir une autonomie des deux mains, chacune devant faire un rythme différent.